Maurice T. avait la meilleure place. Juste sous la statue.
Il s’était levé aux aurores, avait pris le R.E.R., à cette heure-là, ça allait, en plus, le premier Mai, pas trop de monde, et pas de cette populace qu’on ne voit pas, n’importe comment, aller fêter le Jour du Travail alors qu’elle ne fout rien, vit aux crochets de la nation, c’est-à-dire des Français qui, eux, bossent ou qui ont du mal à en trouver, du travail, justement parce que cette populace lui pique, le travail. C’est (...)
